Pourquoi (et comment) remplacer les punitions par des réparations ?
Un des exercices les plus efficaces pour comprendre l’inutilité et la nocivité des punitions est de remonter dans ses souvenirs d’enfance : en repensant à des grosses punitions reçues dans l’enfance ou l’adolescence, il y a de fortes chances pour que 1/ on ne se rappelle plus l’objet de la punition et 2/ que le souvenir gardé ne porte pas sur la règle ou l’éthique mais sur les sentiments éprouvés (humiliation, honte, impression de pas mérité d’être aimé, rejet, peur voire terreur, envie de rébellion, sentiment d’injustice, impuissance…).
Quels apprentissages sont alors tirés des punitions ? Sûrement d’être plus prudent la fois prochaine pour ne pas se faire prendre, sûrement une méfiance envers les adultes, sûrement une conviction que l’amour est conditionnel, sûrement qu’il faut souffrir pour apprendre, sûrement encore que mentir est plus sûr que de dire la vérité.
Réparer au lieu de punir, et manifester de l’amour paraissent plus efficaces dans une visée de développement du sens de la responsabilité individuelle et de l’éthique. Réparer au lieu de punir permet d’ajouter le chaînon manquant des les punitions : un lien direct, logique entre la faute et la réparation.
Je vous propose une fiche avec des éléments de réponse à la question : Pourquoi (et comment) remplacer les punitions par des réparations ?
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Source : Quand tout devient enfin facile avec nos enfants : Une méthode simple et efficace au quotidien pour retrouver l’amour et la bonne humeur à la maison de Christine Dimajo Donati (éditions Josette Lyon).
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