5 leçons que j’ai apprises le jour où j’ai décidé d’arrêter de râler (par Christine Lewicki)

Je veux pas attendre plus tard, quand mes enfants seront plus grands, quand j’aurai plus d’argent, quand je pourrai plus me faire aider, quand je serai en vacances, pour être heureuse et avoir du plaisir dans mon quotidien. Un jour, tu vas mourir et tu vas te rendre compte que tu as passé ton temps à râler sur ta vie. – Christine Lewicki

 

1.Arrêter de râler ne veut pas dire tout accepter et mettre des lunettes roses. C’est changer ce qu’on peut changer dans le quotidien.

2. 3 critères pour définir une râlerie : le ton, le positionnement psychologique, la justesse des propos.

3. Il y a plusieurs réactions possibles quand on se fait râler dessus : la fuite ou le conflit. Une râlerie correspond à une stratégie inefficace pour obtenir la satisfaction d’un besoin non satisfait qui mène à la fuite ou au conflit.

4. On peut remplacer les râleries par des célébrations (parler de ce qui fait vibrer, de ce qui fait plaisir…).

5. Parfois, une chaussette qui traîne par terre est une atteinte à notre identité. Il est urgent de reprendre la responsabilité de nos vies maintenant et d’apporter nous-mêmes du plaisir dans nos quotidiens : personne d’autre ne le fera à notre place. On peut arrêter de résister la vie !

Arrêter de râler n’est pas juste une question de communication mais aussi de se donner le droit de faire ce qui nous plait. – Christine Lewicki

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Christine Lewicki a co-écrit un livre pour aider les parents à arrêter de râler sur leurs enfants : J’arrête de râler sur mes enfants, et mon conjoint : 21 jours pour changer (éditions Eyrolles). Disponible en médiathèque, en librairie ou sur internet.

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