Accepter que les enfants ne “jouent à rien”, c’est ne pas faire de tout leur temps du temps utile.
Les laisser ne rien faire, c’est les laisser jouer, rêver, rire, les protéger des jeux excessivement éducatifs, ne pas vouloir à tout prix leur faire gagner du temps, ne pas vouloir remplir leur temps, leur faire sauter une classe…
Propos de Claire Brisset, défenseure des enfants de 200 à 2006, dans L'Ecole des Parents n°600